Ses parents savaient qu’Ismaël ne pourrait pas vivre, mais ils ont laissé la grossesse se dérouler jusqu’à son terme pour accueillir leur bébé à la naissance.
Sa petite vie fragile a duré 48 heures ; il est décédé dans les bras de sa maman.
Elle lui a écrit une lettre poignante : « Je t’ai aimé dès le début et je ne me suis pas préoccupée de savoir comment tu serais. Je t’ai accompagné même si je savais que ta perte me ferait du mal. La douleur et le vide dans mon cœur sont immenses. Mais je revivrais volontiers tout cela pour te connaître, t’aimer, t’attendre et te bercer dans mes bras. Quand je t’ai pris dans mes bras, tu as ouvert tes petits yeux, tu m’as regardée et tu m’as montré que chaque minute passée ensemble valait la peine. Je me sens une mère qui a reçu la plus grande des grâces au monde en ayant eu un fils comme toi. Tu seras toujours dans notre cœur ».