« Plus de 20 ans d’exposition directe à cette situation stressante ont provoqué chez moi insécurité, dépression, pensées de suicide, peur, anxiété, mauvaise estime de soi, insomnies et confusion sexuelle. Mon innocence et mon psychisme ont été sérieusement atteints. Je peux également témoigner que tous les autres membres de la famille ont, eux aussi, souffert » affirme Dawn Stefanowicz.
Afin d’aider d’autres qui, comme elle, ont grandi avec un père homosexuel ou ont été exposés à ce mode de vie, elle témoigne. Scènes d’échangisme gay, plages nudistes et manque d’affirmation de sa féminité lui ont causé une souffrance qu’enfant elle n’a pas su exprimer. « Personne ne devrait vivre cela et les lois ne devraient pas soutenir de telles familles », estime-t-elle.
En raison de la grave maladie dont sa mère a souffert, elle a du s’occuper de son père homosexuel alors qu’elle n’était elle-même qu’une enfant. Ce n’est qu’après avoir pris l’une des plus importantes décisions de sa vie qu’elle a pris conscience à quel point cette expérience l’avait détruite. Dawn Stefanowicz vit maintenant en Ontario (Canada), avec son mari et ses deux enfants. Elle publie son autobiographie et développe un ministère spécifique via son site Web (en anglais, espagnol et italien), dawnstefanowicz.com.
Source : InfoChrétienne.com
Ndlr. Ce genre de témoignage n’est pas nouveau, y compris au niveau français. Par exemple celui de Jean-Dominique Bunel rapporté par le Figaro du 9/01/13.
Un « Rapport sur le développement de l’enfant au sein de couples de même sexe » paru en 2005 en Espagne, décrivait déjà de manière détaillée les dramatiques conséquences de l’homoparentalité.